dimanche 15 avril 2012

Article de journaux ( mes 3 colonnes n'apparaissent pas)

Qui dit Consommateurs, dit destructeurs !

Les conséquences de l’étalement urbain, le prix à payer pour notre surconsommation déplorable ?


Depuis une trentaine d’années partout au Québec, les yeux plus grand que la pense, les consommateurs prônent le confort et le matériel plutôt que la santé environnementale.




« On en a beaucoup profité et, fatalement, la bulle éclate un jour. Ici, c’est une bulle sociétale. » Jacques Séguéla Depuis plusieurs années, ou précisément depuis que les gens ne vivent plus dans la misère, mais dans l’abondance, la surconsommation est devenu un phénomène     très répandu.

Les rêve à doubles tranchants
L’apparence que nous reflétons devant le monde est dorénavant aussi important que notre propre opinion de         nous-mêmes. Ce qui amène les gens à désirer obtenir le rêve de tous… C’est-à-dire une belle grande maison sur le bord d’un lac ou dans la forêt, un bateau pour naviguer sur ce même lac et tout le reste qui vient de pair. Nous vivons dans un monde de surconsommation, qui a été assez puissant pour faire perdre la conscience écologique des gens. Avant de penser à défricher le bord du lac, les gens se pause plus la question : Est-ce que ce geste peut nuire au lac, aux poissons, ou à quelconque éléments vivants de cet environnement? Non, les gens ont dans leur pensée qu’ils vont obtenir une belle vue et qu’il
 paraitrons bien.

Vers de nouvelles avenues
Ce nouveau mode de pensé amène donc de plus en plus de consommateurs vers des avenues dévastatrices. Le manque d’espace et les voisins dérangeants prône sur le confort, la liberté et la paix qui règne en banlieue.

 
Tous ce précipitent donc vers les banlieues et les régions tranquilles pour vivre une vie meilleure. Certains se tournent vers cette solutions puisqu’ils sont à la recherche de leurs racines. Les impacts que cela peut bien avoir sur la société ne l’est importe peu puisqu’ils sont à longue échéance.

L’individualisme

 Depuis plusieurs années,  une nouvelle valeur beaucoup plus individualiste à pris une grande envergure. Ce monde de pensé fait en sorte que les gens pensent à leur bien-être avant celui des autres, et même de tous ce qui les entourent. Cela crée une certaine inconscience grandissante des autres et des conséquences de leurs actes chez la population. Le fait d’être devenu de grands consommateurs en plus d’être de plus en plus « égoïste » amène les êtres que nous sommes à ne plus se soucier de rien sauf de notre bonheur. Tout ceci pour en revenir au fait que l’étalement urbain n’est pas venu toquer à nos portes par hasard, et que le problèmes de vient pas d’ailleurs que nous.  Il est temps d’ouvrir les yeux et de comprendre que nous pouvons vivre autrement que dans la surconsommation. Le problème, c’est qu’il est facile de le dire, mais difficile de l’accomplir ou du moins, de se donner la peine d’essayer.
« Créer un espace vert dans une ville ? Tout est possible ! »



« Nous avons crée un grave problème, c’est maintenant à nous de vivre avec les conséquences. »

Les conséquences
Les conséquences de nos actes sont maintenant très saillants dans notre société. Tout ceci à mis en branle une retombée économique qui a elle même joué sur plusieurs autres facettes de la société. Si on parle à long terme, le facteur écologique est beaucoup plus important puisque ses effets vont toujours de mal en pire.

Rien d’impossible
 Il faut dire que c’est encore quelque chose de réversible jusqu’à un certain point. Il serai possible à l’homme de stopper l’étalement urbain et de tenter de mieux aménager les villes. Créer un espace vert dans un ville ? Tout est possible! Mais il faudrait repenser nos manières d’agir et de penser. Le réchauffement climatique est sans aucun doute un phénomène quasi irréversible puisqu’il s’en résulte de biens des causes, mais l’étalement urbain est un acte que nous posons directement dans nos gestes et dans nos actes, alors il n’est rien de changer nos coutumes pour le bien des prochaines générations.

Mais comment ?
Tout d’abord, il y a plusieurs quartiers qui sont près de la ville et à la fois loin de tout ses problèmes tels que la pollution par le bruit, les voisins dérangeants, les cours arrières aussi petites que mal organisée et biens d’autres. Il s’agit de bien chercher au lieu de croire que le « paradis » est en banlieue et sur les terres agricoles qui d’ailleurs, servent à bien d’autre chose que de servir de terrain privé, disons le! Ensuite, les véhicules qui nous servent de moyen de transport sont souvent très avares d’essence! Alors, étant donné que le cœur de la ville de peut pas satisfaire tout le monde, pourquoi ne pas utilisez les transport en commun ou, encore mieux, prendre votre vélo. C’est dans les petits gestes que l’on retrouve les grandes actions. Et c’est dans les grandes actions qu’on peut être fier de se qu’on n’a accompli, ensemble!




dimanche 8 avril 2012

Entrevue avec un spécialiste

Questions/Réponses:

1-     Dans quel région l’étalement urbain se fait-il le plus ressentir au Québec ?
2-     Selon vous, que nous réserve l’avenir en ce qui a trait à l’étalement urbain au Québec?
3-     Depuis quand est-ce que le fléau l’étalement urbain est devenu plus important ?
4-     Est ce qu’il devrait avoir des règles pour diminuer son effet à long terme ?
5-     Quelle est la gravité de ce phénomène selon vous ?
6-     Pourquoi cette forme de développement spatial fait-elle l’objet de critiques nombreuses et apparemment convergentes ?
7-     Est-ce que l’étalement urbain est un phénomène si dangereux pour la faune et la flore ?
8-     Quelles solutions pourrions-nous aborder pour tenter de diminuer ce phénomène?
9-     Est-ce qu’on s’en va vers une catastrophe sociale et environnementale?
10-  Quelles sont les conséquences sur l’eau potable au Québec ?

1-     Les régions qui sont le plus touchées par l’étalement urbain depuis quelques années sont sans aucun doute Montréal dans son agglomération., puisqu’il y a de plus en plus de gens qui s’installent dans ses banlieues. Il a y plus de gens qui vivent à l’extérieur de l’îles, qu’à l’intérieur. Il y a également de Saguenay et la ville de Québec qui voit leur région se peupler.
2-     Si on ce fit au présent et aux dernières années, l’étalement urbain gruge de plus en plus de terres et ne cessent de prendre de l’ampleur. Les choses ne changeront pas de ci tôt si des décisions et des solutions ne sont pas mise en place.
3-     Depuis les trente dernières années ce fléau prend de plus en plus de place dans nos sociétés. Donc depuis les années 80-90 d’une façon approximative.
4-     Ce serait certainement un avantage pour tenter de diminuer l’étalement urbain. Je dis bien diminuer puisqu’il est impossible de la stopper totalement.
5-     Pour le moment, nous sommes seulement rendu aux questionnements et aux craintes face au futur, alors pour le moment ce n’est pas une problématique majeure et un sujet d’actualité dans tous les journaux, mais reste que cela est très important et il faut commencer à y voir pour le futur.
6-     Cette forme de développement subit plusieurs réactions convergentes puisque l’on parle ici de deux grandes voies qui s’opposent. Soit les gens concerné qui sont puissant par leur nombre de voie, et ceux qui s’opposent et qui sont puissant de par leur pouvoir.
7-     Comme je l’ai mentionné, ce n’est pas encore un phénomène très dangereux présentement, mais c’est simplement quelque chose de plus qui vient nuire à notre environnement. C’est un phénomène très progressif et qui s’installe peu à peu.
8-      Un des sujets qui est aux lèvres c’est temps-ci mais qui est toujours sous forme d’hypothèse, c’est d’agir sur la mobilité. Les gens sont habitués à utiliser leur voitures quotidiennement et cela fait en sorte que la distance ne les effraie plus.
9-     Si cela persistent, je crois qu’on finira par dire qu’effectivement, nous allons vers une catastrophe sociale et environnementale.
10-  Les conséquences sur l’eau est très évidente. Les gens qui résident sur les bords d’eau ont souvent des embarcations à moteur qui polluent énormément et qui consomment beaucoup d’essence. Alors cela à un effet direct sur la faune en plus de polluer nos sources d’eau. Cela n’est qu’une infime parties d’un tout.

Mon spécialiste m.a beaucoup éclairé sur le sujet de l'étalement urbain, j'ai eu droit à des réponses que je n'aurai probablement pas trouvé seule. Je tiens à remercier Éric Fréchette, professeur en géographie depuis maintenant 5 ans, qui s'intéresse personnellement à l'étalement urbain.
La controverse

Dans le cas de l’étalement urbain, il y a une controverse sans pareil entre plusieurs acteurs. Les acteurs qui sont plus particulièrement impliqués et que leur qualité de vie est touchée sont sans aucun doute les résidents eux-mêmes, l’ensemble de la société. En effet, malgré le fait que certains vivent en ville et que d’autres préfèrent la banlieue, les conséquences sont en quelque sorte les mêmes. Ensuite, il y a ceux qui s’opposent à ce phénomène pour des raisons tant au niveau économique, qu’au niveau écologique. Les gouvernements et autres acteurs dans le même type.

Tout d’abord, entrons dans la tête des citoyens, ceux qui préfèrent allez vivre en banlieue pour tout les avantages que cela apportent selon eux. En premier lieu, c’est gens désirent allez vivre en banlieue puisqu’ils veulent fonder une famille et profitez des biens fait d’avoir une résidence plus éloignée de la ville, pour vivre plus paisiblement, ou alors,  ce sont des personnes qui ont une certaines âges et qui veulent retrouver leur liberté et le calme. C’est gens mènent une guerre pour préserver leur valeur et le désir d’avoir une meilleure qualité de vie. Pour eux, la campagne et les banlieues sont beaucoup plus propices à la famille puisqu’il semble avoir moins de dangers pour les enfants et la tranquillité est de prime à bord. Voici les arguments qui sont les plus populaires : Tout d’abord, les gens sont à la recherche d’un ailleurs meilleur. Ils désirent avoir une bonne qualité de vie, et pour eux, cela rime avec grand terrain, belle maison et tout le reste. Les gens veulent faire la belle vie et la campagne est une bonne option dans leur idéologie. Ensuite, il est évident qu’il y a plusieurs personnes qui envisagent de choisir leur prochaine résidence loin de la ville pour une raison de « cohabitage ». Les voisins sont régulièrement déplaisants et la population tente d’enrayer un problème qui s’avère évitable! Dans le même ordre d’idée, la pollution par le bruit est un autre facteur qui déplait à beaucoup de gens. Les camions sur notre rue, la musique des voisins et du reste de la ville sont souvent plus stressant qu’autrement, alors les gens ont trouvé un moyen de le fuir. Ensuite, il ne faut pas oublier qu’environ 80% de la population est de fraiche souche, ils sont, pour la plupart, à la recherche de leur racine. Beaucoup de gens ressentent également des liens familiaux serrés avec la nature ou la campagne, alors il finissent par ne faire qu’un avec leur désir et se payer un peu de luxe! Finalement, beaucoup de gens désirent faire contrepoids avec les aspects négatifs de la ville, tels que vivre dans un appartement, avoir une petite cours très vue auprès de nos voisins et plusieurs autres. Finalement, les arguments qui sont cités ci-dessus sont tous en relation avec la qualité de vie et des valeurs des gens.

Ensuite, mettons-nous dans la peau du gouvernement et de tout autres institutions visant à protéger l’environnement. Leurs raisons sont beaucoup plus économique ou environnementales. Tout d’abord, l’argument qui ressort énormément du lot et qui a trait à l’environnement et le développement durable est le fait que nos terres agricoles sont de plus en plus saccagées et utilisées à des fins personnelles. Au Québec, nous avons de magnifiques terres qui sont également fertiles et qui sont habitées par des résidents.  Mais ce n’est pas tout, les coûts sont extrêmement élevés et ils dépassent les budgets accordés. Cela n’a l’air de rien, mais construire de nouvelles routes, faire passer l’électricité et tout ce qui vient avec, ce n’est pas gratuit. La société n’a pas les moyens de continuer dans cette voie. Ensuite, il y a la pollution. Les résidents défrichent de plus en plus loin sans penser aux conséquences. De plus, les voitures sont maintenant trop utilisées et les distances se font plus grandes. La dernière et non la moindre, les conséquences sur la santé des gens. Ils font souvent moins d’activité physique puisqu’il ne vont plus au travail à pied ou à vélo, car la distance est trop grande. Si on regarde de plus près, on peut remarquer que les eaux sont polluées par les bateaux et ils y a plus de sel sur les routes etc.

Finalement, on peut voir que les arguments pour l’étalement urbain et contre celle-ci sont très divisés et  personne n’aura envie de céder. Les résidents se battent pour leur biens, leurs valeurs, leurs modes de vie ainsi que pour les valeurs qui les habitent. Tandis que les instituts et les gouvernements s’entendent pour dire qu’il y a rien de bons pour l’environnement ainsi que pour leurs poches dans ce dilemme.



Mes sources utilisées :
Claire Binet (SD)  Le contrôle de l’étalement urbain au Québec : 25 ans de valse-hésitation [En ligne] http://vision2025.uqac.ca/amenagement/ClaireBinet.pdf (Page consultée le 1 février 2012)

Le Regroupement national des conseils régionaux de l’environnement du Québec (SD) Étalement urbain : Quand allons-nous enfin stopper l’hémorragie? [En ligne] http://rncreq.org/documents/CPTA_280507.pdf (Page consultée le 31 janvier 2012)

Fondation David Suzuki (SD) Solution de planification urbaine [En ligne] http://www.davidsuzuki.org/fr/champs-dintervention/changements-climatiques/enjeux-et-recherche/les-solutions-climatiques/solutions-de-planification-urbaine/ (Page consultée le 31 janvier 2012)

Le bloc notes (2005) L’étalement urbain et ses conséquences sur la santé des banlieusards [En ligne] http://www.leblocnotes.ca/node/189 (Page consultée le 31 janvier 2012)

Radio-Canada (2007) L’étalement urbain menace l’agriculture [En ligne] http://www.radio-canada.ca/regions/Montreal/2007/05/28/004-CPTAQ-CMM-agricoles_n.shtml (Page consultée le 31 janvier 2012)
Compte rendu du cours d’enjeux géographiques


Quels sont les éléments que vous désirez améliorer dans ce cours?

Je trouve que de devoir rédigé un blog n’avait pas vraiment de lien direct avec notre apprentissage. C’est de même pour twitter et facebook. Je sais d’ailleurs que personne n’a vraiment été lire les blogs qui ont été crée par les autres étudiants. Alors je crois que nous perdions un peu notre temps.

Quels sont les éléments à maintenir tels quels?

Je trouve que de donner du travail à faire de façon individuel et d’avoir des devoirs à rendre à des date biens précises était très bien. Le fait de seulement faire des rencontres optionnelles et de suivre notre travail est également quelque chose de positif.

Préférez-vous des cours sous forme tutorale comme celui-ci ou trouvez-vous que les cours magistraux traditionnels sont plus enrichissant?

Il est certain que les cours magistraux sont beaucoup plus enrichissants et pertinents, mais aucun élève vous dira qu’il serait préférable d’en faire ainsi. C’était une façon différente de donner un cours, mais je ne peux pas dire que j’ai réellement appris quelque chose que je ne savais pas. Malgré tout, le cours à été enrichissant à sa manière.

mercredi 8 février 2012

Causes et conséquences de l’étalement urbain :

Causes :
L’étalement urbain est un phénomène qui se répand de plus en plus rapidement. Les gens de la ville désirent vivre dans les banlieues plutôt que dans les villes, ou bien, ils décident de construire leur maison sur le bord des cours d’eau. L’une des questions première qui vient à nos oreilles est sans l’ombre d’un doute pourquoi ? Tout d’abord, les gens viennent parfois à être lassés de la ville ou tout simplement, ils recherchent un endroit meilleur pour vivre. Depuis une trentaine d’années, la campagne est redevenue populaire auprès de la population et de plus en plus recherchée par les générations fleurissantes.  Étant donné le grossissement des villes, les habitants sont toujours plus confinés à leur petit territoire et ils souhaitent retrouver un semblant de liberté et de nature pure. Les habitants priment une maison avec une grande cours arrière qu’un appartement en immeuble. De plus, on remarque une absence de tradition en matière de planification de l’aménagement au niveau local, que ce soit en milieu rural ou urbain. De ce fait, les initiatives se sont prises de façon privées et l’État n’intervenait pas dans ce genre de situation. C’est alors qu’on aperçu ce phénomène dans les grandes villes, par la suite dans les petites villes, et par la suite, les villages commencèrent à imiter ce nouveau modèle de modernité et d’abondance.

Dans un autre ordre d’idée, les citadins du Québec sont la plupart de fraîche souche, puisque environ 80% de la population était rurale dans les années 1860. Ce qui fait en sorte que beaucoup de gens ont tissés de grands liens avec le milieu rural ou il se dirige vers la campagne tout simplement pour contré les aspects négatifs de la ville.  La campagne, qui se situe près de la ville, devient donc un espace vert qui est à conquérir. Cette recolonisation peut être saisonnière ou permanente (par exemple un chalet ou une maison d’été), elle peut également être récréative ( golf, sentier de randonné etc.), économique(industrie, tourisme) et environnemental ( sites d’enfouissement etc.) De plus, la cause de l’étalement urbain est dû à la population par le bruit, c’est-à-dire tout les bruits qui sont désagréables et répétitifs retrouvés dans une ville. Les gens veulent éviter ce genre de pollution et opte pour un environnement plus calme et silencieux.

Conséquences :
L’étalement urbain apporte de nombreuses conséquences. Tout d’abord, les coûts collectifs qui y sont reliés sont exorbitants, notamment au plan des infrastructures, des équipements et services, sans compter un énorme gaspillage de terres qui pourraient être utilisées pour l’agriculture et qui sont à hauts potentiel. De plus, on remarque plusieurs tensions sociales reliées aux problèmes de cohabitation entre les habitants.  Une conséquence qui apporte un grand débat est sans aucun doute le fait que l’urbanisation désordonnée dans lequel nous vivons au Québec va à l’encontre  des efforts visant à conduire notre province sur la voie du développement durable. L’étalement urbain est perçu comme étant un facteur d’amplification de problèmes économiques, environnementales et sociales. L’un des problèmes majeurs qu’occasionne l’étalement urbain est l’augmentation de l’utilisation des automobiles. Les gens vivent de plus en plus loin de leur milieu de travail, des commerces, des centres de loisirs et de plusieurs autres besoins quotidiens. L’automobile devient donc leur moyen de transport primaire. Et dieu sait combien l’essence vaut de l’or de nos jours. Il n’est plus possible d’utiliser les transports en commun, une bicyclette ou n’importe quels moyens parce que le lieu de résidence est trop éloigné. Ensuite, le réseau routier ne cesse de s’accroitre et de se multiplier parce que les habitants élargissent toujours et encore le périmètre de la ville. Ce phénomène fait également en sorte d’augmenter le taux de sédentarisation des ménages. Tout c’est exemple ont des effets dramatiques sur notre société. En 2003, le Québec devait investir de l’argent pour stopper la dégradation des infrastructures routières et souterraines. Mais malgré ce besoin primaire, l’étalement continuait de ce faire sentir et au lieu de préserver ce que nous avons battit il y a plusieurs années, nous préférons tout refaire en neuf à des prix sans dessus dessous. L’abondance est un terme très populaire dans notre société d’aujourd’hui.

Dans un autre ordre d’idées, l’étalement urbain provoque des changements beaucoup moins apparents mais tout aussi importants. On parle ici des changements climatiques. En effet, la pollution atmosphérique  et les émissions de gaz à effet de serre sont en augmentation. Dans certaines parties du Canada, l’étalement urbain est l’une des principales cause d’émission de gaz à effet de serre. Le smog est dorénavant non seulement plus fréquent, mais aussi plus long et touche un plus grand territoire. Par ailleurs, la biodiversité est touchée puisque certains êtres vivants ne peuvent se développer que dans un milieu opportun pour leur espèce et celui-ci à de plus en plus de chance de se retrouver dans le champ de mire d’un habitant.  Du coté de l’infrastructure en général, l’étalement urbain coûte cher en mètres d’aqueduc, en câbles électriques et tout le reste. Sans oublier l’importation des produits qui se fait sur une plus longue distance.

Finalement, l’étalement urbain constitue une menace pour la santé des banlieusards. Tout d’abord parce que l’augmentation des routes et du nombres de véhicule nécessaire pour se déplacer est en hausse, alors on remarque une grand manque d’activité physique. Ensuite, la pollution de l’air est augmenter avec les véhicules, ce qui est aussi très néfastes pour la santé. Dans le même ordre d’idées, le passage des véhicules augmente le dégagement de diverses substances chimiques sur les routes qui proviennent de la carrosserie et de ce fait, pollue l’eau. Sur ces même routes, plusieurs fondants et abrasifs divers sont déposés afin de prévenir les accidents, ce qui peut contaminer l’eau et le sol (en grande quantité). Ensuite, l’étalement urbain est également une menace pour l’agriculture. Plusieurs terres très prometteuses sont dézonées à des fins privées.

Acteurs impliqués

Les acteurs qui sont impliqués sont tout d'abord les citoyens puisqu'ils sont la principale cause de tout cet émoi. Je parle bien des banlieusards ou de ceux qui désirent s’installer dans un milieu rural dans un avenir rapproché. Ils désirent habiter dans une zone tranquille et proche de la nature, et non dans une grande ville polluée par le bruit et d'autres facteurs nuisibles à la qualité de vie. Malgré le fait qu'ils occasionnent de grands problèmes auprès de la société, de l’économie et de plusieurs autres sphères, ils répliquent en évoquant leur droit de liberté. De plus, ils sont les premiers qui peuvent changer le cours de cette situation en se rendant compte des dégâts causés à l’environnement.  C’est ce qui les place au premier rang des acteurs de ce phénomène. Ensuite, l’un des nombreux acteurs sont les maires. Ils nient s’saccager les terres agricoles qui pourraient être profitables à notre société. Ensuite, il y a de nombreux organismes qui s’opposent à l’urbanisation en milieu rural. Comme par exemple, le regroupement national des conseils régionaux de l’environnement du Québec, qui annonça tout récemment son adhésion à la coalition pour la protection du territoire agricole. Par ce mouvement, cet organisme se joint à plusieurs autres pour mettre fin à l’aménagement du territoire. Dans le même ordre d’idées, il y a plusieurs fondations comme celle de David Suzuki qui encourage les communautés à transformer leur milieu urbain. Ce problème implique également les gouvernements puisqu’ils doivent payer plus cher dans certains petits détails qui nous échappent. Par exemple, celui ci devrait payer pour aménager nos monuments historiques, maisons centenaires, commerces et la ville dans tout son périmètre, mais pendant ce temps, il continu de s’endetter dans l’infrastructure de nouveaux domiciles et dans l’étalement de la ville. Les ingénieurs qui pavent les routes et qui construisent des maisons sont également des acteurs principaux puisqu’ils sont de plus en plus en demande.  Leur travail s’étale sur une plus longue période de temps puisque les chemins et les maisons en milieu rural se multiplient.  Ensuite, il y a les employés des villes en particulier qui doivent déneiger les routes et les déglacer sur une plus longue distance etc.  Ensuite, il y a les producteurs agricoles qui sont outrés par ce nouveau fléau. Les terres qui sont parfois les plus fertiles se voient bondées d’habitations et au bout du compte, les villes, ou même à la grandeur du Québec, les ressources en nourritures et autres récoltes se  diminuent considérablement. Et si on pousse encore un peu plus loin, on peut penser aux soins de santé et services sociaux qui risquent de voir augmenter leurs chiffres puisque les gens font de moins en moins d’exercices et se déplacent en automobile étant donné le nombres de kilomètres qui les séparent du centre ville.

lundi 30 janvier 2012

Bonjour, je vous présente 5 sites qui sont en lien avec l'étalement urbain :

http://www.leblocnotes.ca/node/189

Résumé: Au canada, plusieurs problèmes sont causés par l'étalement urbain, donc les problèmes de santé.La qualité et la longévité des canadiens  est mis à prix. Dorénavant,  plusieurs  territoires considérés comme ruraux sont devenus urbains...

http://www.actu-environnement.com/ae/news/etalement-urbain-mobilite-precarite-energetique-12742.php4

En résumé, la majorité de la population francaise utilise leur voiture régulièrement, voire quotidiennement et cela affecte la planète. Cette article nous démontre les conséquences de l'étalemernt urbain sur nos sociétés. Plusieurs statistiques ajoutent du poids à l'article.

http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/dossiers/elections-a-quebec/200909/24/01-905315-etalement-urbain-le-defi-vert-denonce-les-plans-du-maire.php

Résumé: Des solutions sont mises sur pied pour résoudre, ou dû moins diminuer les effets de l'étalement urbain.  Le Québec tente de remédier à l'étalement urbain par des moyens qui n'arrêterons pas le progrès, mais qui réduiront les effets peu à peu .

http://www.ledevoir.com/politique/villes-et-regions/73186/l-etalement-urbain-c-est-les-autres

Résumé: Tout d'abord, j'apprécie particulièrement le slogan, les gens croient toujours que la faute doit être mise sur les autres, personne ne se tourne vers soi. Cette article met en lumière l'envie d'aller habiter dans les banlieux et de quitter les villes, se qui fait augmenter le problème.

http://www.techno-science.net/?onglet=glossaire&definition=7061

Résumé : J'apprécie ce site parce qu'il permet aux gens de comprendre ce qu'est le problème de l'étalement urbain. C'est l'un des premiers sites qui devrait être lu pour nous permettrent de comprendre ceci dans toute sa grandeur.